Credit Management : Quatre bonnes pratiques pour décupler votre efficacité !

La gestion du crédit octroyé à vos clients, plus connue sous le nom de « credit management », est une discipline de plus en plus pratiquée dans les entreprises du monde entier, mais qui peine encore à s’imposer en France. Quatre bonnes pratiques à suivre pour surmonter les freins à son adoption, avec Yves Dubois, consultant formateur Demos, consultant expert en credit management pour BFR-TM et professeur associé à l’ESC Montpellier.

Norme IFRS 9 : une pratique à construire

Depuis le 1er janvier 2018, les entreprises françaises publiant leurs comptes en normes IFRS appliquent la nouvelle norme IFRS 9 « Instruments Financiers ». Cette norme introduit des évolutions importantes par rapport à IAS 39, à laquelle elle se substitue, dans les domaines suivants :  le classement et l’évaluation des actifs financiers, le provisionnement des actifs financiers, et la comptabilité de couverture. Si beaucoup d’études préalables ont été menées IFRS 9 en amont de son application, seule sa mise en pratique effective par les entreprises concernées permettra de mesurer son impact réel sur leurs comptes et de faire émerger une véritable jurisprudence d’application. Notre expert Pierre Savu, associé fondateur d’Accounting Partner, nous expose et nous illustre ci-dessous les principales étapes requises par IFRS 9.

Les nouveautés en matière de LCB FT

La lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme fait l’objet de plusieurs évolutions règlementaires et législatives qui prendront effet avant le 1er juillet 2017, en plus du décret du 10 novembre (dont il a déjà été question ici) :
 
• Une ordonnance du 24 novembre, reformant le dispositif du gel des avoirs ;
• Une autre ordonnance du 1er décembre qui transpose la 4ème directive européenne ;
• Ainsi qu’un décret du 5 décembre qui encadre les transferts de sommes supérieurs à 50.000 €.
 
Fabrice Courault, expert Demos, va présenter ces nouvelles mesures, prises notamment à la suite de la loi du 3 juin 2016 renforçant la lutte contre le crime organisé, qui consolident et modernisent le dispositif national de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme.
 

Adaptation de la fiscalité à l’économie collaborative : dépôt d’une proposition de loi au Sénat

L’économie collaborative a représenté 28 milliards d’euros en Europe en 2015 et devrait atteindre près de 570 milliards d’euros en 2025. Outre ces revenus exceptionnels, les plateformes en ligne, en créant de nouvelles opportunités d’échanges et de services, brouillent les frontières traditionnelles existantes en matière sociale et fiscale entre particuliers et professionnels.
C’est dans ce contexte qu’une proposition de loi « relative à l’adaptation de la fiscalité à l’économie collaborative »  ayant vocation à entrer en vigueur le 1er janvier 2018, a été déposée au Sénat le 29 mars 2017. Notre experte en formation juridique et fiscale, Mathilde Ducrocq, revient avec vous sur les propositions faites par le groupe de travail de la commission des finances sur ce sujet. 
 

Employeurs : vous pouvez transiger avec l’URSSAF !

Depuis la loi de financement de la sécurité sociale pour 2015, les entreprises sont habilitées à transiger avec l’URSSAF. Un décret était cependant attendu pour préciser les modalités de mise en œuvre de cette procédure de transaction. Celui-ci a été publié au JO du 17 février, la procédure étant applicable à compter du 18 février2016.
Notre experte en formation juridique et fiscale, Isabelle DIE, détaille les principales caractéristiques de cette procédure.
 

Projet de loi de finances pour 2017 : quels impacts pour les contribuables ?

​L’examen du PLF2017, présenté en Conseil des ministres le 28 septembre 2016, a commencé devant l’assemblée le 18 octobre. Ce projet, qui se veut dans la lignée du triptyque proposé au long du quinquennat (réforme de la croissance et de l’emploi, assainissement des comptes publics et renforcement de la justice sociale) s’articule autour de 4 axes principaux : la mise en place du prélèvement à la source, une fiscalité des ménages plus juste, une fiscalité des entreprises plus favorable, et des actions de lutte contre la fraude fiscale et l’optimisation excessive. Notre experte en formation juridique et fiscale, Mathilde Ducrocq, vous présente les principales nouveautés introduites par ce texte.

Nouvelle norme IFRS 15 sur la reconnaissance du chiffre d’affaires : réforme ou révolution ?

​La nouvelle  norme IFRS 15 sur la comptabilisation du chiffre d’affaires a été publiée par le normalisateur comptable international IASB en Mai 2014, après plusieurs années de réflexions et de discussions menées avec les parties intéressées.  Cette norme , commune aux IFRS et aux US GAAP, se substitue aux textes IFRS existants sur le sujet, notamment aux normes IAS 11 et IAS 18.  Elle s’appliquera  de façon obligatoire aux entreprises soumises aux IFRS à compter du 1er janvier 2017. Elle concerne quasiment tous les secteurs de l’économie, industrie et services, financiers et non financiers. Elle remet à plat les modalités de comptabilisation du chiffre d’affaires, notamment en introduisant la notion d’obligation de performance qui devient la nouvelle unité de compte au sein d’un contrat et en gommant la distinction traditionnelle entre biens et services. Notre expert Pierre Savu, associé fondateur d’Accounting Partner, nous expose et nous illustre ci-dessous les principales étapes requises par IFRS 15 pour comptabiliser le chiffre d’affaires résultant de la signature d’un contrat avec un client.

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Aidez vos clients à estimer leur impôt 2015 !

La loi de finances pour 2015 a été publiée au Journal Officiel de la République Française du 30 décembre 2014. Parmi les mesures phares votées par les Parlementaires, la réforme du barème de l’impôt sur le revenu, des incitations à la libération du foncier constructible et un nouveau dispositif d’investissement immobilier locatif. Autant d’aménagements à maîtriser pour aider et conseiller vos clients sur leurs charges fiscales et financières en 2015.


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Modification du mode de calcul de l’impôt sur les plus-values : Quels impacts ?

 
Le 12 novembre 2015, le Conseil d’Etat a annulé la doctrine administrative qui affirmait que « Le montant de la moins-value imputable (…) est le montant de la moins-value constatée réduite des abattements pour durée de détention ». 
Pour la Haute Juridiction, au contraire, cet abattement « ne s’applique pas aux moins-values retirées de cessions de valeurs mobilières », mais au solde de plus-values, après imputation des moins-values. Elle précise par ailleurs que le contribuable peut les imputer « pour le montant et sur les plus-values » de son choix.
Voyons ensemble les impacts de cette décision pour les contribuables.
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Le dispositif ISF-PME : quels changements en 2016 ?

​L’article 24 de la loi de finances rectificative pour 2015 apporte de nombreux aménagements à la réduction d’ISF pour souscription au capital de PME non cotées, afin d’être mis en conformité avec les règles européennes d’encadrement des aides d’Etat. Ces modifications, qui s’appliquent aux investissements réalisés à compter du 1er janvier 2016, se traduisent essentiellement par une définition plus restrictive des entreprises au capital desquelles un redevable de l’ISF peut souscrire, avec un recentrage sur des entreprises de moins de 7 ans, sauf en cas d’investissements de suivi ou importants. L’expert en fiscalité, Gérard DORIER vous explique en détail ce qui a changé.

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Plan d’action sur la TVA : la commission présente ses mesures pour moderniser la TVA dans l’Union Européenne

Le 7 avril 2016, la commission européenne a présenté son plan d’action dénommé « Vers un espace TVA unique dans l’Union : l’heure des choix » visant à moderniser la TVA au sein de l’Union européenne et à tenir compte des évolutions technologiques, des changements intervenus dans les modèles commerciaux, ou encore de la mondialisation de l’économie. Cette première étape vers un espace TVA unique a vocation à lutter contre la fraude fiscale, à soutenir les entreprises -notamment les PME- et à contribuer à l’économie numérique et au commerce électronique. Présentation des quatre axes retenus par la Commission pour atteindre ces objectifs.
 

Risques de marchés : 5 étapes pour une couverture efficace

Dans le climat des affaires de plus en plus compétitif, traiter avec des acteurs internationaux (clients, fournisseurs, investisseurs) devient trivial pour les entreprises. Ceci afin d’assurer développement, croissance et parfois juste survie. Les cash flows en différentes devises, l’approvisionnement en matière première, ou encore le remboursement de dette à taux variable, peuvent présenter de fortes fluctuations et impacter les marges de l’entreprise, trop précieuses pour s’affranchir d’une politique de couverture de risques. Le point en 5 étapes avec Paul Mussault, fondateur d’EthiCap et expert en marchés financiers.

Faire d’une Entreprise Familiale, un modèle durable

Comme le dit l’adage populaire, la première génération crée l’entreprise, la seconde la développe et la troisième la ruine ! Les statistiques montrent que 75% des entreprises ne survivent pas à la troisième génération. On dit aussi qu’il ne faut pas mélanger la famille et les affaires. En revanche, on sait que la manière d’exercer ce contrôle familial s’avère être un facteur clé des succès et des échecs de ces entreprises, mais aussi de la réussite ou non des familles actionnaires. Il est possible de redynamiser le lien entre l’entreprise et ses actionnaires. C’est l’objectif de la formation et du conseil en Entreprise Familiale, précise Antoine Roullier, Dirigeant d’AR Partners, Développement et transmission d’entreprises.

Loi de finances 2013 : sur quels fondements l’appréhender ?

Pour appréhender la loi de finances 2013, il est nécessaire de connaître quelques points clés de son contexte économique et financier. Nicolas Van Praag, consultant formateur Demos, chargé de cours à l’université Dauphine et docteur en sciences économiques, répond à nos questions.

Entreprises, 10 indicateurs pour maintenir le cap en temps de crise !

Grands groupes, PME ou TPE : compte tenu de la forte incertitude et de la volatilité des marchés, les entreprises n’ont d’autre choix que de repréciser leur stratégie en permanence. Pour être sûres de respecter les prévisions, elles doivent se doter d’un certain nombre d’indicateurs pertinents. Catherine Lévy, consultante formatrice Demos en gestion, finances et comptabilité fait le point sur les dix indicateurs principaux pour permettre aux entreprises de maintenir le cap.

Transmission d’entreprise, une bonne préparation s’impose

Transmettre ou reprendre une entreprise ne s’improvise pas. Quel que soit le mode de transmission, préparation, organisation et anticipation sont les maîtres mots de votre réussite. Le point avec Louis-Marie Bourgeois, Avocat à la Cour et consultant formateur Demos.

Le contrôleur de gestion doit-il être un bon communicant ?

L’objectif du contrôleur de gestion : assurer la cohérence entre les objectifs et les moyens (planification), optimiser l’utilisation des ressources et suivre la réalisation efficace et efficiente des objectifs pour le compte de la direction. Dans le cadre de sa mission, quelle place pour la communication et l’intelligence relationnelle ? Jean-Marc Coursin, consultant formateur Demos et associé fondateur de JMC Conseil, répond à nos questions.