La BD : nouvel outil du formateur
Au cours de ces saynètes, tous les niveaux sont abordés, du plus simple (quand met-on un accent sur le ‘ou’ ?) au plus complexe (le pronominal suivi d’un infinitif), en passant par des expressions complexes qu’elles soient latines ou non. C’est également sur un mode débonnaire que notre formateur, Bernard Fripiat aborde les rapports entre orthographe et intelligence ainsi que l’utilité de la chanson : j’ai descendu dans mon jardin.
Il n’est pas ici question de résoudre toutes les difficultés orthographiques mais plutôt d’offrir un moyen de s’en amuser. Quand vous aurez vu comment Gwendoline choque Mlle Singault par sa manière de retenir acompte, pantoufle et diarrhée, il vous suffira de suivre son exemple et de vous amuser avec les mots que nous ne retenons jamais. Libre à vous de chercher une Mlle Bingault à taquiner. Ce sera à votre tour de vous amuser avec une orthographe que vous ne regarderez plus jamais de la même manière.
Pour notre formateur, quand une matière vous fait rire, elle ne vous fait plus peur et on l’apprend mieux. Il s’agit de la première bande dessinée consacrée à l’orthographe. Sa devise : « Puisque, de toute façon, nous ne la simplifierons jamais, utilisons l’orthographe pour rire un bon coup. » Son but : désacraliser cette matière ardue en l’abordant avec humour. Chaque règle est présentée sous forme de sketch. Elle s’adresse aux petits (certaines planches parlent du pluriel) et aux grands (d’autres traitent des participes passés). Quand vous l’aurez lue, vous ne regarderez plus jamais l’orthographe avec le même regard.
Pour aller plus loin, découvrez tous les talents de notre formateur en suivant le stage “Les fondamentaux de la langue française : se réconcilier avec l’orthographe”.